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6 Juin 2022
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- Le Global Shippers Forum craint que la décarbonisation
de l’expédition vient une autre poussée inflationniste
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- L’association exhorte l’OMI à s’assurer qu’elle n’implique pas
une nouvelle augmentation des prix du fret et que les coûts ne sont pas répercutés
à propos des clients
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Le Global Shippers Forum (GSF) craint que l’industrie du transport maritime
peuvent exploiter la transition énergétique, et en particulier la
proposition présentée par le même secteur pour décarboner le
l’expédition, pour augmenter encore les tarifs de transport
maritime qu’ils ont longtemps dépassé, et de beaucoup,
des niveaux record. A l’occasion du début de la 78ème
réunion du Comité de la protection du milieu marin (CEM)
de l’Organisation maritime internationale (OMI), qui discutera
une autre proposition présentée par l’industrie armatrice
d’introduire une taxe sur le carbone sur les carburants marins avec l'
visent à promouvoir la transition vers les carburants à faible teneur en carburant
les émissions de carbone, l’association GSF, qui représente
expéditeurs et expéditeurs, ont averti que la nouvelle taxe sur
Le carbone semble être prêt à augmenter le fret maritime.-
- Le Global Shippers Forum estime que dans la proposition
de l’industrie armatrice, il y a deux risques. La première est
que, sous prétexte de retirer du marché des navires plus anciens
et non rentable, les compagnies maritimes utilisent la capacité
de cale afin d’augmenter encore les taux de fret. Deuxièmement
GSF craint que les compagnies maritimes ne transfèrent davantage
les coûts en partie ou en totalité pour les expéditeurs par l’intermédiaire de
l’application du facteur d’ajustement de soute (BAF) généralisé, i
coefficients de variation du coût du carburant, et par
la vague de suppressions pour l’introduction de carburants faibles
teneur en soufre introduite en 2020.
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- « Vous pardonnerez aux expéditeurs - il a mis ses mains en avant
le directeur du GSF, James Hookham - pour avoir pensé que le
et son examen à l’OMI, en résulteront
inévitablement dans des taux de fret encore plus élevés. Ceci - a
expliqué - pourquoi l’industrie du transport maritime a un
mécanisme très efficace pour transférer le plus haut
les frais de carburant sous forme de BAF, le supplément à couvrir
les variations du prix du carburant. Dans les propositions actuelles - a
Hookham a souligné - il y a peu d’assurances que
une taxe sur le carbone ne se traduira pas par des coûts supplémentaires
pour les transitaires ».
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- « Si l’industrie du transport maritime prend le
des mécanismes fondés sur le marché comme moyen de décarbonisation -
hookham observé - alors il doit abriter le sien
clients de leurs effets inflationnistes, sinon des émissions
sera réduite en comprimant la demande pour le commerce mondial
plutôt que d’encourager une percée dans le domaine des carburants et
des technologies de propulsion si urgentes.
Pour éviter ce risque, le Forum mondial des expéditeurs a exhorté le
composantes du MEPC pour tenir dûment compte des intérêts
des exportateurs et des importateurs, qui sont la force motrice derrière le
le commerce international et, compte tenu de la
de grosses sommes d’argent impliquées, pour insister sur le fait que
quel que soit le mécanisme de taxation du carbone absolument
transparent et entièrement analysable.
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