Assiterminal, la note du MIT précise que l’allocation de 90 minutes ne s’applique qu’aux temps d’attente
Ferrari : la Conférence des présidents des autorités portuaires pourrait évaluer une sorte d’accord de programme national
Roma/Genova
5 Novembre 2025
En réponse par la circulaire d’hier aux rapports
du client et par les transporteurs reçus par le
Ministère de l’Infrastructure et des Transports dans le cadre d’une série de
problèmes critiques sur les temps de chargement et de déchargement du
marchandises, telles que réglementées par le décret législatif du 21 mai
(article 4) visant à assurer la continuité de l'
Transport routier, le ministère a rappelé que la règle indique
strictement en 90 minutes la période de franchise rattachée
l’attente aux fins du chargement et du déchargement des marchandises
(paragraphe 1), qui est fixée à 100 euros l’indemnité due à la
pour chaque heure ou fraction d’heure de retard par rapport à la
le dépassement de la période d’exemption susmentionnée (paragraphe 2), qui
L’indemnité de 100 euros est également due, sans plus
les périodes de franchise, en cas de dépassement des délais indiqués
contractuellement pour l’exécution matérielle de la
chargement ou déchargement (paragraphe 3) et que, dans ce cas également, l’indemnisation est
dû au transporteur pour chaque heure ou fraction d’heure de retard.
Avec la circulaire, le MIT précise que dans la franchise visée à l'
le paragraphe 1 ne comprend pas les heures de chargement et
qu’il n’y a pas de périodes d’exonération de droits connexes
compensation en cas de dépassement des temps de chargement et de déchargement et
que l’indemnisation est due en totalité (100 euros) également pour
le dépassement de la période d’admission en franchise (paragraphe 2) ou le chargement ou
Congé (paragraphe 3) inférieur à une heure. La règle, en outre, précise
le ministère précise que l’indemnisation n’est pas due
si le retard est imputable au transporteur.
En outre, notant que le chargement et le déchargement des marchandises
impliquent de nombreux acteurs de la chaîne logistique (transporteur routier,
transitaire, agent maritime, exploitant de terminal, etc.),
Les opérations peuvent être effectuées dans des terminaux avec
très différents les uns des autres (ports, terminaux de fret, plateformes logistiques,
etc.), que la loi prévoit que « le client et le
chargeur sont détenus conjointement et solidairement pour correspondre au transporteur"
l’indemnité « sans préjudice du droit de recours entre les
co-obligations envers le responsable effectif » et que
Il existe une grande variété de contrats de transport (sous forme de
écrites et non écrites) et les parties contractantes, le Dicastère
souligne la nécessité de définir avec le plus grand
précision possible et à l’avance, le lieu, les méthodes
le temps d’accès au véhicule, le moment de l’exécution et les heures
l’exécution des opérations elles-mêmes, ainsi que les méthodes
d’attestation des accords susmentionnés. Entre autres choses - rappelle le
MIT - veuillez noter que le transporteur peut prouver l’horaire
l’arrivée des outils numériques ; Il est donc essentiel
que l’heure et le lieu exacts du chargement sont identifiés, ou
ainsi que les modalités d’accès des véhicules à la
points de chargement et de déchargement. Il est également recommandé - poursuit-il
la circulaire - pour fournir des indications précises sur le nombre de
responsable du chargement ou du déchargement, en considération de ce que
prévu le paiement de l’indemnité et le droit de recours,
ainsi que d’expliquer ce que l’on entend par « tout
force majeure", compte tenu également du fait que la règle
rappelle les responsabilités du transporteur,
l’expéditeur, l’expéditeur et le propriétaire des marchandises en cas de
de violation des lois et règlements
Protection de la sécurité et de la sécurité routières
(art. 7 du décret législatif 286/2005).
Commentant les éclaircissements apportés par le Ministère, le président
de l’Association italienne des exploitants de terminaux portuaires (Assiterminal),
Tomaso Cognolato, a noté que la note du ministère « clarifie
Sans équivoque que l’allocation de 90 minutes ne s’applique
temps d’attente et n’incluent pas le temps matériel nécessaire
charger ou décharger les marchandises, selon les besoins et également indiqués
par Assiterminal lors des discussions avec le Ministère".
L’association s’est plainte que « ces derniers mois, à ce sujet,
certains acronymes représentant le monde du transport routier
fourni des indications différentes à leurs membres, créant ainsi de la confusion et
litiges potentiels, tandis qu’une grande partie du cluster logistique
s’est fixé comme objectif de se concentrer sur l’efficacité
de la chaîne d’approvisionnement et de la relation client/transporteur, en essayant de ne pas
alimentant les contrastes".
« L’évaluation du contrat de transport en tant que
visé par le décret législatif 286/2005, dont l’opérateur
terminal ou société portuaire est exclue - a observé le
directeur d’Assiterminal, Alessandro Ferrari - est un
un autre élément de clarté ; pourrait être utile - il
souligné - que la Conférence des présidents des autorités
Port System pourrait évaluer une sorte d’accord
programme national qui tend à s’améliorer, notamment grâce à un
la numérisation uniforme des PCS, l’efficacité de
d’import-export qui transitent par les ports, valorisant ainsi
processus de numérisation en place et dialogue avec
opérateurs, en premier lieu les exploitants de terminaux, mais aussi avec les
Douane. Il y a encore quelques questions - Ferrari a conclu -
questions non résolues, comme la raison pour laquelle le transporteur maritime
n’est jamais mentionnée dans ce contexte comme faisant partie de la chaîne d’approvisionnement
logistique même lors du déchargement de dizaines de milliers de
conteneurs, le risque du droit de recours ainsi que le
Relation entre la redevance portuaire/de congestion et la régulation des anticipations
Comme le rappelle le décret sur les infrastructures : sur certaines de ces questions
Nous avons évidemment demandé qu’un avis juridique soit fourni à notre
associés.
- Via Raffaele Paolucci 17r/19r - 16129 Gênes - ITALIE
tél.: +39.010.2462122, fax: +39.010.2516768, e-mail
Numéro de TVA: 03532950106
Presse engistrement: 33/96 Tribunal de Gênes
Direction: Bruno Bellio Tous droits de reproduction, même partielle, sont réservés pour tous les pays